De l’art énergique, fantaisiste, jazzy qui n’est pas sans rappeler les gribouillages enfantins et certaines grandes oeuvres finalement : dans l’oeil d’un adulte, il s’avère que la ligne unique représente plus qu’il n’y paraît :
Jonathan Calugi, illustrateur italien réalise de superbes oeuvre grâce au tracé d’1 seule ligne.
Deux points et une ligne. Trouver de nouvelles façons de les connecter, voilà le défi.
Impressionnant de simplicité et de sens, ses oeuvres ne sont pas sans rappeler Picasso ou Jordy van den Nieuwendijk dans ce travail épuré et à la fois bourré d’expressivité dans la contrainte restrictive de la ligne :
Pour Paul Klee : « Pas un jour sans ligne », établit une corrélation entre le tracé, le dessin quotidien, et une ligne qui se prolonge de jour en jour, non pas dans une forme continue, mais bien, dans une attitude qui touche à l’existence et à l’autobiographie, à la conduite : un rapport au présent et à la continuité.
Voici l’évolution géniale de Infinite line :