« Je pense que nous n’avons même pas vu la partie émergée de l’iceberg. Je pense que le potentiel de ce qu’internet va faire à la société, à la fois bon et mauvais, est inimaginable. Je pense que nous sommes en fait à l’aube de quelque chose d’exaltant et de terrifiant… Je parle du contexte actuel et l’état du contenu va être si différent de tout ce que nous pouvons vraiment envisager pour le moment. L’idée que l’œuvre n’est pas terminée tant que le public n’y a pas ajouté sa propre interprétation et que l’œuvre d’art est l’espace gris qui se trouve au milieu. Cette zone grise au milieu, c’est ce que sera le XXIe siècle ».
